
...see you on the other side of Christmas...
Just a few pictures from this last week taken in and around Paris.
Photos de Paris et alentours.
Calling all geeks
What film does Encom Corp. appear in?
First correct answer on this post's message board gets an unreleased photo from my digital backlog.
Dans quel film est-ce que l'Encom Corp. apparaît-elle?
La première réponse correcte sur la section commentaire de cette entrée recevra une photo non publié de mes archives digitales.
Coming Soon
Photos of the toy cars I'm going to give to my two cousins G & G for Christmas.
Photos des voiturettes que je vais offrir pour Noël à mes deux cousins G & G.
Thrashing it out.
One final sip
10 Raisons pour lesquelles le concert de Ratatat m’a plu
1. Ils n’étaient que deux sur scène. C’était simple et percutant à suivre.
2. Basse, guitare, un clavier (Nord Electro) et un shaker…les seuls instruments dont ils avaient besoin pour être fidèles (mais pas trop non plus) au son de l’album.
3. Ils jouaient largement sur des parties pré-enregistrées. Je crois qu’il n’y a rien de plus excitant dans un concert que de déceler la partie playback. Au début on peut penser que c’est un accès de commodité, mais c’est tout le contraire. Jouant sur des pistes préfabriquées, c’est ce qu’il y a de plus dur. Tout les instruments doivent être accordés parfaitement, ou sinon c’est la mort sonore. Un enregistrement n’est pas aussi tolérant qu’un musicien en matière d’erreur ou de variation. Tout concert de ce type est une bataille entre studio et scène, entre passé et présent.
4. L’un des membres de Mouse On Mars est venu jouer de la batterie.
5. La qualité sonore du concert. Les rythmes percutaient avec une élasticité satisfaite, tandis que les guitares et les claviers coulaient comme du yaourt.
6. Mike Stroud et Evan Mast se laissaient aller, tout en restant dans les contraintes établies par les parties fixes.
7. Les projections complétaient parfaitement la musique, sans être une distraction mais non plus juste un « afterthought » à la mode.
8. Le « jeu de la frustration » (courtesy of DJ Aï). Ils ont joué un set assez court, arretant les morceaux brusquement. Sur « Seventeen Years » (le dernier) ils nous ont fait croire qu’ils iraient uptempo vers un rythme house mais sans jamais y arriver. Tout le monde anticipait une progression mais ils ont coupé court avant qu’elle ne soit réalisée, donc nous laissant instinctivement frustrés.
9. Les mélodies héroïques et le jeu de guitare explicitement phallique sans jamais avoir recours à des solos masturbatoires.
10. Leur amplis Orange (rien à voir avec les portables), ils me font toujours sourire quand j’en vois dans des concerts.
En moins :
- « Leur look Devendra Barnhardt. » (courtesy of MPB)
- Mes photos ratées (je sais pas ce que j’avais ce soir)
www.audiodregs.com
Poni Hoax do the dutch head thang.
Poni Hoax's guitar pedals
The Park Attack epiphany.
What a night !! I was in the club for almost ten hours with very little in the way of nutritional sustenance:
The bands were great, especially Panico (www.panicoband.com) who are originally from Chili and are now based in Paris. They play a thoroughly boisterous brand of roasted latin psych-out and this time we were graced with the presence of labelmate 'Crazy Girl' who brilliantly counterpointed the lead singer's vocals. As you can see from the fotos they all have great hair too, essential for any band wishing to wig out the crowd.
After the bands, the Optimo guys dj'd their heart out. An ESG track I hadn't heard before remains the highlight of their set for me.
It's also on this night that I met a really special person, like all the best things it was totally unexpected. So I guess I have to thank Optimo and Tigersushi for soundtracking the beginning of some sunkissed strobe-lit happiness. To Be Furthered...